Journal d une Nympho: Chapitre 3

2015, mes etudes finies, avec mon diplome eu sur le fil. Je trouve mon premier emplois dans un cabinet dentaire, entre mon train de vie et mon fils qui ne fait pas ses nuits, c est difficile de tenir le rythme.

Les week ends de débauchent on finis par se transformer en soirées quasi quotidiennes. Je ne compte plus les soirs ou en rentrant du boulot, mon ex mari m avait preparé une soirée de sexe, de plus en plus souvent avec nos amis, de moins en moins que tout les 2. Son coté candauliste qui se developpait au rythme de mes desirs de plus en plus brulants.

Le sexe c est un peu comme le sport, plus on pratique et plus on veut aller loin. Nos soirees de debauches se transformaient de plus en plus en soirées extremes, ou le sexe debridé laissait place a de la soumission, jusqu a l humiliation parfois. Bizarrement j y prenais gout, apres ces journees de boulot a tout organiser, tout prendre en charge, j aimais me sentir dominer, lacher prise totalement. Me sentir objet, a la mercie de mes partenaires.

J etais exhibée, parfois en public, sortant sans sous vetements pour etre "prete". Couplé a ma soif de sperm, je ne compte plus depuis bien longtemps le nombre d homme ayant jouis sur moi. Sur le moment j adorais ca, mais apres je me trouvais sale, honteuse, que pense les gens de moi? Si mes parents, mes amis l apprenaient? Mon fils?

Toutes ces questions me hantaient en permanence, j en atrendais presque ma prochaine pulsion pour que ma tete ne pense plus, etre prise pour me vider la tete et n etre que cet objet de plaisir.

Difficile de garder un boulot quand 80% du temps on pense au sexe, que l on est épuisée de ses nuits trop courtes ou qu on arrive au boulot en retard. J ai donc perdu mon emplois, enchainant les petits boulots en esperant trouver quelquechose d autre.

Cette periode a ete la plus difficile, avec le soutient de mes parents qui se sont occupes de mon fils et de mon ex mari j ai repris des études pour devenir infirmière. Rien a voir avec le fantasme de la blouse blanche mais olutot une envie d aider les autres, peut etre que si je me focalise sur la douleur des autres j oublierai les miennes.

Etre nymphomane n est pas une partie de plaisir, et a cette époque malgres mes seances chez la psy je ne savais toujours pas que j etais atteinte de cette pathologie.

Ne voyant mon fils que les week ends chez mes parents, nos soirees de debauches etaient beaucoup plus rares. Je me suis donc vite rattrappée en etant a nouveau infidèle et cumulant les soirees etudiantes. L alcool n aidant pas a réfrener mes pulsions. Et dans ce milieu les rumeurs vont vite, les filles de l ecole d infirmière me detestaient, j ai toujours eu plus de mal avec les femmes. Normal quand pour la plus part je me suis tapée leur mec.

Bizarrement avec toutes les experiences sexuelles que j ai pu avoir je n ai jamais ete attirée par les femmes, j ai essaye 2 fois mais ca n a jamais ete mon truc, la douceur, les caresses, c est agreable mais ce que j aime c est des bras puissant, une queue epaisse et dure qui prend possesion de moi, un torse musclé où m accrocher et surtout ce sperm chaud qui envahi mon corps.

Pendant mes etudes j avais pour habitudes d aller au gloryhole pres de mon petit appart en sortant des cours, ou j ai fais la connaissance du vendeur, un beau black, avec qui j ai vite sympathise et qui m a fait decouvrir les saveurs du chocolat.  Et desole messieurs mais c est pas une legende urbaine, les blacks a petites queues y en a tres peu!

Je prenais mon pied avec mon homme mais avec ce nouvel amant, mon dieux j avais l impression qu ils etaient deux en moi, que c etait bon, que c etait intense...

La suite au prochain episode